France: African migrant arrested in Chartres for alleged HIV transmission to a number of women

 

Arrest

A resident of Mainvilliers allegedly transmitted HIV to his partners

March 29, 2017
Source: L'echo republican
Google translation - For article in French, please scroll down
A Mainvillois was arrested on Wednesday (March 22nd). He is suspected of having voluntarily transmitted the AIDS virus to his partners. The police are looking for other possible victims.

A 55-year-old man, originally from the Central African Republic, has been in pre-trial detention since Wednesday, 22 March.At the end of his custody, in Chartres, this Mainvillois was placed under investigation for the administration of harmful substances causing permanent harm or infirmity. In this case, he is suspected of having voluntarily transmitted the AIDS virus to women during unprotected sex.A judicial investigation has been opened, said the public prosecutor of the Republic in Chartres, Rémi Coutin: “The investigating judge will investigate whether other women have been infected and if it was done knowingly. “The case began on November 25, 2016 with the complaint of a 40-year-old woman from Mainville, at the Chartres police station.

Their infected baby

According to the prosecutor, she told the investigators of the departmental security that she did not know that the suspect, when he was his companion, was carrying the virus:

“She found out that she was HIV-positive after testing. And the baby she had with this man, in 2008, was also infected. During their investigation, the police identified several women who had sexual relations with the man.

Her niece, too, had relations with her former companion

In December 2016, they interviewed another ex-girlfriend. She was also HIV-positive. According to the prosecutor, “they are sometimes still lovers. She does not want to file a complaint. ”

Last January, a 56-year-old woman was heard at the police station. This woman, who did carry the virus, lodges a complaint. The public prosecutor goes back on the statements she made to the investigators:

“Her niece, too, would have had relations with her former companion. She died of AIDS in 2002. “The facts are very old, continues Rémi Coutin:” This is one of the difficulties of this very complex file. ”

“She’s waiting for results

A fourth woman was auditioned last February: the sister of the 56-year-old Mainville. She was 62 years old and resident in Loir-et-Cher. She also had relations with the man.

She claimed that he never disclose his HIV status: “She does not know if she has contracted the virus. She will do a screening. She will wait for the results before deciding on a possible complaint. ”

At the end of February, a fifth woman, a 44-year-old Senegalese woman residing in the Val-de-Marne, was heard. She dated the Mainvillois between 2009 and 2015.

The prosecutor states: “She states that he had Disclose his HIV status. She accepted it, out of love,

She accepted, out of love, unprotected sex. According to her statements, she is not infected.

Un Mainvillois a été écroué, mercredi 22 mars. Il est soupçonné d’avoir transmis volontairement le virus du sida à des partenaires. La police cherche d’autres victimes éventuelles.

Un homme de 55 ans, originaire de la République centrafricaine, est en détention provisoire depuis mercredi 22 mars.

À l’issue de sa garde à vue, à Chartres, ce Mainvillois a été mis en examen pour administration de substances nuisibles ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente. En l’occurrence, il est soupçonné d’avoir transmis volontairement le virus du sida à des femmes lors de rapports sexuels non protégés.

Une information judiciaire a été ouverte, indique le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin : « Le juge d’instruction va chercher à déterminer si d’autres femmes ont été contaminées et si cela a été fait sciemment. »

L’affaire démarre le 25 novembre 2016 par la plainte d’une Mainvilloise de 40 ans, au commissariat de Chartres.

Leur bébé contaminé

Selon le procureur, elle aurait affirmé aux enquêteurs de la sûreté départementale qu’elle ignorait que le suspect, lorsqu’il était son compagnon, était porteur du virus :

« Elle a découvert qu’elle était séropositive après avoir effectué des tests. Et le bébé qu’elle a eu avec cet homme, en 2008, a également été contaminé. » Au cours de leur enquête, les policiers identifient plusieurs femmes qui auraient eu des relations sexuelles avec le Mainvillois.

En décembre 2016, ils auditionnent une autre ex-compagne. Elle aussi serait séropositive. Selon le procureur, « ils sont, parfois, encore amants. Elle ne veut pas porter plainte ».

En janvier dernier, une Mainvilloise de 56 ans est entendue dans les locaux de la police. Cette femme, qui serait porteuse du virus, dépose plainte. Le procureur de la République revient sur les déclarations qu’elle a faite aux enquêteurs :

« Sa nièce aurait, elle aussi, eu des relations avec son ex-compagnon. Elle est décédée du sida en 2002. » Les faits sont très anciens, poursuit Rémi Coutin : « C’est l’une des difficultés de ce dossier très complexe. »

« Elle attend les résultats »

Une quatrième femme est auditionnée en février dernier : la sœur de la Mainvilloise de 56 ans. Âgée de 62 ans, et domiciliée dans le Loir-et-Cher, elle aussi aurait eu des relations avec le Mainvillois.

Elle aurait affirmé qu’il n’aurait jamais fait état de sa séropositivité : « Elle ne sait pas si elle a contracté le virus. Elle va réaliser un dépistage. Elle attend les résultats avant de se prononcer sur une plainte éventuelle. »

À la fin du mois de février, une cinquième femme, une Sénégalaise de 44 ans, domiciliée dans le Val-de-Marne, est à son tour entendue. Elle a fréquenté le Mainvillois entre 2009 et 2015.

Le procureur de la République précise : « Elle déclare qu’il lui avait avoué sa séropositivité. Elle a accepté, par amour, des rapports non protégés. » Selon ses déclarations, elle ne serait pas contaminée.